vendredi 8 février 2008

Reverse inginneering

Voici l'info que j'aimerais apporter à propos du reverse ingineering et de l'interopérabilité.
Lorsque je vais sur d'autres forums, je lis ce que janfi67 écrit: "Je fais du reverse engineering sur les structures du CD Navteq. Mais en aucun cas je ne modifie le contenu.. c'est l'utilisateur qui le fait! Et un bon avocat pourrait plaider l'interopérabilité, qui est une des exceptions prévues pas la loi." janfi67 déclare donc clairement que RT3MapEditor ne modifie pas le contenu des la Base Navteq. Et que c'est l'itilisateur final qui le fait. Alors de quoi il se mêle? L'utilisateur d'un CD original avec licence Navteq est parfaitement libre de faire ce qu'il veut s'il respecte l'article l'Art. L. 122-6-1.II. janfi67 dit qu'un bon avocat pourrait plaider l'interopérabilité. Tiens, pourquoi pense-t-il avoir besoin d'un bon avocat? Je suis allé voir ce que c'est que l'interopérabilité en informatique. Définition Wikipédia: "On entend par compatibilité la capacité de deux systèmes à communiquer sans ambiguïté." Puis il y a la mention suivante: "L'amendement 341 à la Loi DADVSI (Droits d'Auteurs et Droits Voisins dans la Société de l'Information) qui n'a pas été retenu par l'Assemblée proposait les définitions suivantes : On entend par compatibilité la capacité de deux systèmes à communiquer sans ambigüité. On entend par interopérabilité la capacité à rendre compatibles deux systèmes quelconques. L'interopérabilité nécessite que les informations nécessaires à sa mise en œuvre soient disponibles sous la forme de standards ouverts."
On dirait que ce fameux amendement que plaide janfi67 n'est pas passé. Personnellement, je lui conseillerais de mettre la pédale douce sur ce sujet car comme on dit chez moi en Centre-Afrique: "N'insulte jamais un crocodile avant d'avoir traversé la rivière". Je demande à l'auteur de ce blog de publier mon témoignage, mais de conserver mon anonymat. On ne sait jamais, des fois que je me trouve aussi cloué au pilori par janfi67 le chevalier blanc.. car je suis black et je m'appelle Adam (ça peut pas s'inventer)!

Michel C. n'en n'est plus à un mensonge près. Il nous a déjà fait le coup d'Emilie, et maintenant c'est Adam. Ce n'est plus un dédoublement de la personnalité, mais un triplement. Son cas mériterait peut-être de figurer aux anales de la psychiatrie?

Mais ce n’est rien comparé au contenu du message qui n’est du début à la fin qu’une accumulation de mensonges, jugez plutôt :

Il me fait dire que : « RT3MapEditor ne modifie pas le contenu des la Base Navteq. Et que c'est l'itilisateur final qui le fait. Alors de quoi il se mêle? » . Je me mêle de ce qui me regarde, Michem C., de la défense de mes droits ! Pour modifier une carte avec RT3MapEditor, l’utilisateur final doit approuver le contrat de licence utilisateur, et le respecter. Quand vous revendez des cartes modifiées par RT3MapEditor, vous ne respectez pas le contrat que vous avez passé avec moi et vous violez mes droits, droits que j’entends faire respecter.

Michel C. parle d'un amendement non retenu de la DADVSI, mais pourquoi ne nous parle-il pas du code de la propriété intellectuelle qui s'applique aujourd'hui en France, celui-la même auquel il fait référence quand ça l’arrange mais qu’il viole allègrement ?

Il nous cite l’article L.122-6-1.II de ce code, mais pas les articles
suivants
qui se trouvent juste en dessous et qui prouvent que je ne viole aucune loi en faisant du reverse engineering :

II. La personne ayant le droit d'utiliser le logiciel peut faire une copie de sauvegarde lorsque celle-ci est nécessaire pour préserver l'utilisation du logiciel.
III. La personne ayant le droit d'utiliser le logiciel peut sans l'autorisation de l'auteur observer, étudier ou tester le fonctionnement de ce logiciel afin de déterminer les idées et principes qui sont à la base de n'importe quel élément du logiciel lorsqu'elle effectue toute opération de chargement, d'affichage, d'exécution, de transmission ou de stockage du logiciel qu'elle est en droit d'effectuer.
IV. La reproduction du code du logiciel ou la traduction de la forme de ce code n'est pas soumise à l'autorisation de l'auteur lorsque la reproduction ou la traduction au sens du 1º ou du 2º de l'article L. 122-6 est indispensable pour obtenir les informations nécessaires à l'interopérabilité d'un logiciel créé de façon indépendante avec d'autres logiciels, sous réserve que soient réunies les conditions suivantes :
1º Ces actes sont accomplis par la personne ayant le droit d'utiliser un exemplaire du logiciel ou pour son compte par une personne habilitée à cette fin ;
2º Les informations nécessaires à l'interopérabilité n'ont pas déjà été rendues facilement et rapidement accessibles aux personnes mentionnées au 1º ci-dessus ;
3º Et ces actes sont limités aux parties du logiciel d'origine nécessaires à cette interopérabilité.
Les informations ainsi obtenues ne peuvent être :
1º Ni utilisées à des fins autres que la réalisation de l'interopérabilité du logiciel créé de façon indépendante ;
2º Ni communiquées à des tiers sauf si cela est nécessaire à l'interopérabilité du logiciel créé de façon indépendante ; 3º Ni utilisées pour la mise au point, la production ou la commercialisation d'un logiciel dont l'expression est substantiellement similaire ou pour tout autre acte portant atteinte au droit d'auteur.
V. Le présent article ne saurait être interprété comme permettant de porter atteinte à l'exploitation normale du logiciel ou de causer un préjudice injustifié aux intérêts légitimes de l'auteur.
Toute stipulation contraire aux dispositions prévues aux II, III et IV du présent article est nulle et non avenue.

Nous prendrait-il encore pour des imbéciles ? Est-il simple d’esprit ? Ou mentirait-il uniquement pour tenter bien maladroitement de me calomnier ?

Le voila qui se prend enfin pour un crocodile ? Puisqu’il aime les métaphores animales, je le verrai plus comme un charognard, du style hyène ou bien comme une blatte, vivant cachée dans l’ombre, qui se transforme en corbeau des temps modernes, faisant oeuvre de dénonciation calomnieuse et anonymes dès que la lumière le frappe.